Montréal, 1976. Nadia Comaneci, une gymnaste roumaine de 14 ans, fait exploser les codes et les représentations. Elle devient l’image de la perfection. La narratrice du roman imagine le parcours de cette «icône» en explorant tous les possibles de la fiction. Son personnage voltige d’est en ouest, objet médiatique qui révèle la complexité des regards et les épreuves d’une femme en devenir. Nadia C. est un récit à trois voix, au plus près de l’écriture de Lola Lafon et de son roman, inspiré de l’histoire de Nadia Comaneci. Pour reprendre les termes de la romancière, La petite communiste qui ne souriait jamais « c’est un dialogue fantasmé entre Nadia Comaneci ... devenue dès son apparition aux J. O. de 1976, une idole pop sportive à l’Ouest et plus jeune héroïne communiste à l’Est, et la narratrice, « candide occidentale » fascinée, qui entreprend d’écrire son histoire, doutant, à raison, des versions officielles ». Une enquête à la recherche de Nadia C., personnage emblématique, mystérieux et fascinant. Les comédiennes, ne cherchant pas à l’incarner mais plutôt à la questionner, à travers son parcours, son époque, son image, confrontent l’une ou l’autre des versions de l’histoire, la petite, mais aussi parfois la grande. Accompagnées d’un vidéaste, elles suivent les pistes proposées par l’auteure en interrogeant les différents outils de la représentation.
de: Lola Lafon
adaptation et mise en scène : Chloé Dabert
collaboration dramaturgique: Brigitte Ferrari
scénographie et vidéo: Pierre Nouvel
son : Lucas Lelièvre
lumières :Kelig Le Bars
Montréal, 1976. Nadia Comaneci, une gymnaste roumaine de 14 ans, fait exploser les codes et les représentations. Elle devient l’image de la perfection. La narratrice du roman imagine le parcours de cette «icône» en explorant tous les possibles de la fiction. Son personnage voltige d’est en ouest, objet médiatique qui révèle la complexité des regards et les épreuves d’une femme en devenir. Nadia C. est un récit à trois voix, au plus près de l’écriture de Lola Lafon et de son roman, inspiré de l’histoire de Nadia Comaneci. Pour reprendre les termes de la romancière, La petite communiste qui ne souriait jamais « c’est un dialogue fantasmé entre Nadia Comaneci ... devenue dès son apparition aux J. O. de 1976, une idole pop sportive à l’Ouest et plus jeune héroïne communiste à l’Est, et la narratrice, « candide occidentale » fascinée, qui entreprend d’écrire son histoire, doutant, à raison, des versions officielles ». Une enquête à la recherche de Nadia C., personnage emblématique, mystérieux et fascinant. Les comédiennes, ne cherchant pas à l’incarner mais plutôt à la questionner, à travers son parcours, son époque, son image, confrontent l’une ou l’autre des versions de l’histoire, la petite, mais aussi parfois la grande. Accompagnées d’un vidéaste, elles suivent les pistes proposées par l’auteure en interrogeant les différents outils de la représentation.
de: Lola Lafon
adaptation et mise en scène : Chloé Dabert
collaboration dramaturgique: Brigitte Ferrari
scénographie et vidéo: Pierre Nouvel
son : Lucas Lelièvre
lumières :Kelig Le Bars